http://www.lemonde.fr/climat/article/2015/11/02/hollande-en-visite-en-chine-pour-s-allier-un-acteur-majeur-sur-le-climat_4801077_1652612.html
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Hulot
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- Message n°76
Re: Hulot
Là encore, indépendamment de ce qu'on peut penser de François Hollande, je crois qu'il faut se féliciter de cela :
http://www.lemonde.fr/climat/article/2015/11/02/hollande-en-visite-en-chine-pour-s-allier-un-acteur-majeur-sur-le-climat_4801077_1652612.html
http://www.lemonde.fr/climat/article/2015/11/02/hollande-en-visite-en-chine-pour-s-allier-un-acteur-majeur-sur-le-climat_4801077_1652612.html
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- Message n°77
Re: Hulot
Ce n'est pas gagné..
AFP 04/11/2015 :
La Chine a largement sous-évalué sa consommation de charbon et brûlé ces dernières années plusieurs centaines de millions de tonnes de plus qu'initialement annoncé, ont indiqué des experts mercredi à l'AFP, confirmant des informations sur une révision en hausse des chiffres gouvernementaux.
Les nouvelles données établies par le (BNS) et rapportées mercredi par le New York Times montrent que la Chine a brûlé jusqu'à 17% de plus de charbon par an que ce qui était précédemment estimé.
L'ampleur de cette correction, qui figure dans un rapport gouvernemental annuel sur l'énergie, donne le vertige: pour la seule année 2012, la consommation chinoise aurait été, selon le NYT, de 600 millions de tonnes supérieure au niveau initialement annoncé.
Cela équivaut à plus de 70% de la consommation annuelle de charbon, et cela a entraîné des émissions chinoises de CO2 supplémentaires dépassant le volume annuel des émissions allemandes.
Les chiffres officiels étaient sous-évalués depuis l'an 2000 mais le décalage s'est exacerbé ces dernières années.
Cette révision fait l'effet d'un pavé dans la mare à quelques semaines de la conférence de sur le climat, alors qu'on juge déjà la Chine responsable d'environ 25% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Interrogé mercredi par l'AFP, le BNS s'est refusé à tout commentaire dans l'immédiat, et le récent rapport où ces nouveaux chiffres figurent n'était pas disponible sur son site internet.
Mais plusieurs experts ont confirmé cette importante correction.
"Il s'agit d'une énorme augmentation, qui rend les statistiques plus proches de la réalité et plus fiables", a indiqué à l'AFP Yang Fuqiang, conseiller du Natural Resources Defense Council (NRDC), une ONG environnementale américaine.
Les chiffres "ont bien été ajustés", a abondé Zhou Fengqi, expert rattaché à la NDRC, la puissante agence de planification gouvernementale chinoise.
"Nous avions depuis longtemps constaté des écarts importants entre les chiffres du BNS et ceux de la fédération professionnelle des producteurs de charbon", a-t-il ajouté en marge d'une conférence.
Le décalage était dû, de l'avis général, à une compilation compliquée des données.
"En Chine , le charbon est partout! Au niveau des districts et des villes, il y a de nombreux usages du charbon (encore couramment utilisé comme mode de chauffage, NDLR), qui n'étaient pas pris en compte dans les statistiques", a souligné Song Guojun, professeur à l'Université du Peuple.
Il était difficile de mesurer les éventuelles répercussions sur les engagements chinois en matière de lutte contre le réchauffement climatique. La Chine a déjà promis un pic de ses émissions de CO2 "autour de 2030".
"Cela ne devrait pas faire de différence, puisque la Chine s'est engagée sur un pic de ses émissions, et non sur un volume chiffré", a tempéré M. Yang. "Mais concernant l'objectif de limiter la hausse de la température mondiale en-dessous de 2°, cela va susciter des inquiétudes accrues", a-t-il reconnu.
AFP 04/11/2015 :
La Chine a largement sous-évalué sa consommation de charbon et brûlé ces dernières années plusieurs centaines de millions de tonnes de plus qu'initialement annoncé, ont indiqué des experts mercredi à l'AFP, confirmant des informations sur une révision en hausse des chiffres gouvernementaux.
Les nouvelles données établies par le (BNS) et rapportées mercredi par le New York Times montrent que la Chine a brûlé jusqu'à 17% de plus de charbon par an que ce qui était précédemment estimé.
L'ampleur de cette correction, qui figure dans un rapport gouvernemental annuel sur l'énergie, donne le vertige: pour la seule année 2012, la consommation chinoise aurait été, selon le NYT, de 600 millions de tonnes supérieure au niveau initialement annoncé.
Cela équivaut à plus de 70% de la consommation annuelle de charbon, et cela a entraîné des émissions chinoises de CO2 supplémentaires dépassant le volume annuel des émissions allemandes.
Les chiffres officiels étaient sous-évalués depuis l'an 2000 mais le décalage s'est exacerbé ces dernières années.
Cette révision fait l'effet d'un pavé dans la mare à quelques semaines de la conférence de sur le climat, alors qu'on juge déjà la Chine responsable d'environ 25% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Interrogé mercredi par l'AFP, le BNS s'est refusé à tout commentaire dans l'immédiat, et le récent rapport où ces nouveaux chiffres figurent n'était pas disponible sur son site internet.
Mais plusieurs experts ont confirmé cette importante correction.
"Il s'agit d'une énorme augmentation, qui rend les statistiques plus proches de la réalité et plus fiables", a indiqué à l'AFP Yang Fuqiang, conseiller du Natural Resources Defense Council (NRDC), une ONG environnementale américaine.
Les chiffres "ont bien été ajustés", a abondé Zhou Fengqi, expert rattaché à la NDRC, la puissante agence de planification gouvernementale chinoise.
"Nous avions depuis longtemps constaté des écarts importants entre les chiffres du BNS et ceux de la fédération professionnelle des producteurs de charbon", a-t-il ajouté en marge d'une conférence.
Le décalage était dû, de l'avis général, à une compilation compliquée des données.
"En Chine , le charbon est partout! Au niveau des districts et des villes, il y a de nombreux usages du charbon (encore couramment utilisé comme mode de chauffage, NDLR), qui n'étaient pas pris en compte dans les statistiques", a souligné Song Guojun, professeur à l'Université du Peuple.
Il était difficile de mesurer les éventuelles répercussions sur les engagements chinois en matière de lutte contre le réchauffement climatique. La Chine a déjà promis un pic de ses émissions de CO2 "autour de 2030".
"Cela ne devrait pas faire de différence, puisque la Chine s'est engagée sur un pic de ses émissions, et non sur un volume chiffré", a tempéré M. Yang. "Mais concernant l'objectif de limiter la hausse de la température mondiale en-dessous de 2°, cela va susciter des inquiétudes accrues", a-t-il reconnu.
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- Message n°78
Re: Hulot
Raison de plus pour faire monter le compteur de l'appel. Je ne suis pas certain que cela serve à quelque chose, mais c'est certainement mieux que rien.
Plus de 570 000 signataires aujourd'hui.
Plus ce sera, mieux ce sera.
Merci de diffuser.
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°79
Re: Hulot
Texte intéressant, qui laisse songeur.. :
http://blogs.afp.com/makingof/?post/changement-climatique-ressentir-le-moment-oh-merde
http://blogs.afp.com/makingof/?post/changement-climatique-ressentir-le-moment-oh-merde
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°80
Re: Hulot
Source NASA:
http://www.nasa.gov/topics/earth/features/earth20130610.html#.VjoNnLcveCg
Extrait :
"Les sols de permafrost (constamment gelés), se situent de façon importante en Arctique. Chaque été, les couches supérieures de ces sols dégèlent. La profondeur de la couche de dégel varie entre 10 cm (régions les plus froides de la toundra) et plusieurs mètres (forêts boréales du sud). Cette couche active de sol à la surface fournit une empreinte précaire de la façon dont la végétation de l'Arctique survit.
Le froid extrême de l'Arctique, les conditions humides empêchent les plantes et les animaux de se décomposer, et de cette façon chaque année une nouvelle couche est ajoutée aux réservoirs de carbone organique, séquestré juste en dessous de la surface.
Pendant des centaines de millénaires, les sols de permafrost de l'Arctique ont accumulé de grandes quantités de carbone organique - estimé de 1 400 à 1 850 milliards de tonnes -,
c'est environ la moitié du carbone organique stocké dans le sol de la terre entière.
En comparaison, près de 350 milliards de tonnes de carbone ont été émis à partir de la combustion d'énergies fossiles et des activités humaines depuis 1850.
La plupart de ce carbone est situé dans la couche arable la plus vulnérable au dégel, jusqu'à trois mètres en profondeur par rapport à la surface.
Mais, comme les scientifiques le découvrent, le permafrost - et son carbone stocké - pourrait ne pas être "permanent" comme son nom le suppose. Cela les inquiète.
"Les sols de permafrost se réchauffent plus vite que les températures atmosphériques de l'Arctique - 1,5 à 2,5 °C pour les trente dernières années" déclare Miller* "Lorsque la chaleur provenant de la surface de la terre pénètre dans le permafrost, cela menace d'activer ces réservoirs de carbone et de les relâcher dans l'atmosphère sous forme de dioxyde de carbone ou de méthane, bouleversant la balance carbone de l'arctique, en exacerbant le réchauffement global"
Les modèles actuels climatologiques ne prennent pas en compte de façon adéquate l'impact du changement climatique sur le permafrost, et comment sa dégradation pourrait affecter le climat régional et global.
Les scientifiques veulent savoir quelle quantité de carbone du permafrost est susceptible d'être relâchée et donc de réchauffer le climat global, et à quelle vitesse"
*Chercheur programme CARVE (étude de la vulérabilité des réservoirs de carbone)
http://www.nasa.gov/topics/earth/features/earth20130610.html#.VjoNnLcveCg
Extrait :
"Les sols de permafrost (constamment gelés), se situent de façon importante en Arctique. Chaque été, les couches supérieures de ces sols dégèlent. La profondeur de la couche de dégel varie entre 10 cm (régions les plus froides de la toundra) et plusieurs mètres (forêts boréales du sud). Cette couche active de sol à la surface fournit une empreinte précaire de la façon dont la végétation de l'Arctique survit.
Le froid extrême de l'Arctique, les conditions humides empêchent les plantes et les animaux de se décomposer, et de cette façon chaque année une nouvelle couche est ajoutée aux réservoirs de carbone organique, séquestré juste en dessous de la surface.
Pendant des centaines de millénaires, les sols de permafrost de l'Arctique ont accumulé de grandes quantités de carbone organique - estimé de 1 400 à 1 850 milliards de tonnes -,
c'est environ la moitié du carbone organique stocké dans le sol de la terre entière.
En comparaison, près de 350 milliards de tonnes de carbone ont été émis à partir de la combustion d'énergies fossiles et des activités humaines depuis 1850.
La plupart de ce carbone est situé dans la couche arable la plus vulnérable au dégel, jusqu'à trois mètres en profondeur par rapport à la surface.
Mais, comme les scientifiques le découvrent, le permafrost - et son carbone stocké - pourrait ne pas être "permanent" comme son nom le suppose. Cela les inquiète.
"Les sols de permafrost se réchauffent plus vite que les températures atmosphériques de l'Arctique - 1,5 à 2,5 °C pour les trente dernières années" déclare Miller* "Lorsque la chaleur provenant de la surface de la terre pénètre dans le permafrost, cela menace d'activer ces réservoirs de carbone et de les relâcher dans l'atmosphère sous forme de dioxyde de carbone ou de méthane, bouleversant la balance carbone de l'arctique, en exacerbant le réchauffement global"
Les modèles actuels climatologiques ne prennent pas en compte de façon adéquate l'impact du changement climatique sur le permafrost, et comment sa dégradation pourrait affecter le climat régional et global.
Les scientifiques veulent savoir quelle quantité de carbone du permafrost est susceptible d'être relâchée et donc de réchauffer le climat global, et à quelle vitesse"
*Chercheur programme CARVE (étude de la vulérabilité des réservoirs de carbone)
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°81
Re: Hulot
Sur l'intérêt de considérer le méthane à court terme :
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°82
Re: Hulot
Je vais lever le pied, parce que mon but n'est pas que vous pensiez toutes et tous : "oh pitin, y commence à nous faire ch. l'autre c. avec son climat"
Je le fais uniquement parce que de mon point de vue c'est un sujet important, finalement peut-être le plus important.
Si j'ai pu convaincre ne serait-ce qu'une personne de s'intéresser au sujet, c'est déjà bien.
Je le fais uniquement parce que de mon point de vue c'est un sujet important, finalement peut-être le plus important.
Si j'ai pu convaincre ne serait-ce qu'une personne de s'intéresser au sujet, c'est déjà bien.
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°83
Re: Hulot
Rappel de rien :
Aussi quelques éléments pour démonter les "hoax" des climato-sceptiques.
Source le Monde.
Hoax 1 Le réchauffement s'est arrêté en 1998
Hoax 2 Le réchauffement c'est à cause du soleil !
Hoax 3 Quand les scientifiques prévoyaient un refroidissement
Hoax 4 Le GIEC manipule les données sur le climat
Aussi quelques éléments pour démonter les "hoax" des climato-sceptiques.
Source le Monde.
Hoax 1 Le réchauffement s'est arrêté en 1998
Hoax 2 Le réchauffement c'est à cause du soleil !
Hoax 3 Quand les scientifiques prévoyaient un refroidissement
Hoax 4 Le GIEC manipule les données sur le climat
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°84
Re: Hulot
Donc en résumé :
1 La température globale a augmenté de façon significative ces dernières décennie à cause des activités humaines et de l'utilisation des énergies fossiles (gaz, pétrole, charbon).
Cette utilisation générant des quantités énormes de CO2 gaz à effet de serre.
Validé par 97% des scientifiques étudiant le climat dont le Giec.
2 Cette élévation de température commence à agir sur le pergélisol ou permafrost particulièrement en Arctique.
Celui-ci fond, et en fondant libère du méthane. Il est à noter que les stocks de carbone organique sont gigantesques.
3 Concernant le méthane, on sait que son implication sur le réchauffement est 25 fois plus élevée que celle du CO2.
Sur 100 ans, beaucoup plus sur une durée plus faible comme expliqué plus haut 70 sur 20 ans).
4 Le CO2 est imputable aux activités humaines, c'est presque une bonne nouvelle. En effet, ce n'est pas le cas du méthane dans la majorité des émissions, même si les élevages de ruminants y contribuent.
Donc le CO2 risque de devenir assez prochainement anodin. En effet, il aura juste agi comme déclencheur d'une bombe beaucoup plus puissante, celle du méthane, contre laquelle cette fois nous ne pourrons rien.
Dans le principe, le méthane émis fait monter la température, qui elle-même contribue à relâcher plus de méthane, on comprend bien que le système alors s'auto-entretient.
J'espère vraiment qu'il n'est pas trop tard, mais à dire vrai j'ai un doute. La planète a peut-être trouvé un moyen de se débarrasser de nous.
Si tel est le cas, souhaitons que les prochains réfléchissent avant aux conséquences de leurs actes.
1 La température globale a augmenté de façon significative ces dernières décennie à cause des activités humaines et de l'utilisation des énergies fossiles (gaz, pétrole, charbon).
Cette utilisation générant des quantités énormes de CO2 gaz à effet de serre.
Validé par 97% des scientifiques étudiant le climat dont le Giec.
2 Cette élévation de température commence à agir sur le pergélisol ou permafrost particulièrement en Arctique.
Celui-ci fond, et en fondant libère du méthane. Il est à noter que les stocks de carbone organique sont gigantesques.
3 Concernant le méthane, on sait que son implication sur le réchauffement est 25 fois plus élevée que celle du CO2.
Sur 100 ans, beaucoup plus sur une durée plus faible comme expliqué plus haut 70 sur 20 ans).
4 Le CO2 est imputable aux activités humaines, c'est presque une bonne nouvelle. En effet, ce n'est pas le cas du méthane dans la majorité des émissions, même si les élevages de ruminants y contribuent.
Donc le CO2 risque de devenir assez prochainement anodin. En effet, il aura juste agi comme déclencheur d'une bombe beaucoup plus puissante, celle du méthane, contre laquelle cette fois nous ne pourrons rien.
Dans le principe, le méthane émis fait monter la température, qui elle-même contribue à relâcher plus de méthane, on comprend bien que le système alors s'auto-entretient.
J'espère vraiment qu'il n'est pas trop tard, mais à dire vrai j'ai un doute. La planète a peut-être trouvé un moyen de se débarrasser de nous.
Si tel est le cas, souhaitons que les prochains réfléchissent avant aux conséquences de leurs actes.
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PatrickS- Messages : 566
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- Message n°85
Re: Hulot
Non, tu ne nous (me) fait pas ch..er. Mais de plus en plus peur.Fred1208 a écrit:Je vais lever le pied, parce que mon but n'est pas que vous pensiez toutes et tous : "oh pitin, y commence à nous faire ch. l'autre c. avec son climat"
Bien que je sois d'accord avec toi, et que cela fait longtemps que je suis convaincu (et, accessoirement que je rajoute ma petite goutte aux mesures à prendre)
Patrick
Un jours à la fois
Invité- Invité
- Message n°86
Re: Hulot
Spectaculaire !
Je ne sais pas si c'est lié au réchauffement. En tout cas, je retourne à la plage, moi !
http://www.20minutes.fr/insolite/1725331-20151106-video-australie-impressionnant-mur-nuages-sydney
Je ne sais pas si c'est lié au réchauffement. En tout cas, je retourne à la plage, moi !
http://www.20minutes.fr/insolite/1725331-20151106-video-australie-impressionnant-mur-nuages-sydney
Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°87
Re: Hulot
Je vais encore jouer les rabat-joie Culydance, mais il est fortement conseillé de sortir de l'eau quand un orage s'annonce. Même si c'est plus rare que sur la terre, la foudre peut s'abattre sur l'eau.
Idem sur un bateau, il est conseillé de rentrer.
Sinon Patrick, je vais mettre en application mon levage de pied
Idem sur un bateau, il est conseillé de rentrer.
Sinon Patrick, je vais mettre en application mon levage de pied
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°89
Re: Hulot
Ok, mais c'est le même principe quelle que soit la plage
bon, si tu es dans ta baignoire et qu'il y a un orage, ce n'est pas non plus la peine de te précipiter pour te cacher sous le lit
bon, si tu es dans ta baignoire et qu'il y a un orage, ce n'est pas non plus la peine de te précipiter pour te cacher sous le lit
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°91
Re: Hulot
Oui je pense qu'il sera difficile d'expliquer à ces pauvres gens qu'il n'y a pas de réchauffement climatique.
Que ce soit au Bangladesh ou ailleurs, il y a d'ores et déjà des millions de Réfugiés (sources Le Figaro).
Ceux-ci s'entassent aux abords des grandes villes, sans logement et sans travail augmentant considérablement les tensions sociales et les risques de conflits.
Il y a la COP21, c'est très bien.
Ceci étant dit, cela pourrait laisser supposer que les comportements changent, que la prise de conscience progresse.
Malheureusement dans certains cas, c'est tout le contraire.
L'arctique, dont j'ai souvent parlé à cause du méthane qui commence à s'en libérer, est l'objet de toutes les convoitises.
Cette vidéo permet de mieux cerner je crois de quoi il s'agit :
Que ce soit au Bangladesh ou ailleurs, il y a d'ores et déjà des millions de Réfugiés (sources Le Figaro).
Ceux-ci s'entassent aux abords des grandes villes, sans logement et sans travail augmentant considérablement les tensions sociales et les risques de conflits.
Il y a la COP21, c'est très bien.
Ceci étant dit, cela pourrait laisser supposer que les comportements changent, que la prise de conscience progresse.
Malheureusement dans certains cas, c'est tout le contraire.
L'arctique, dont j'ai souvent parlé à cause du méthane qui commence à s'en libérer, est l'objet de toutes les convoitises.
Cette vidéo permet de mieux cerner je crois de quoi il s'agit :
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°92
Re: Hulot
Le Monde - Hoax 5
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°93
Re: Hulot
21 mots pour comprendre la COP21 :
http://www.lemonde.fr/cop21/visuel/2015/10/30/21-mots-pour-comprendre-la-cop21_4799835_4527432.html#/terms/contributionnationale
http://www.lemonde.fr/cop21/visuel/2015/10/30/21-mots-pour-comprendre-la-cop21_4799835_4527432.html#/terms/contributionnationale
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°94
Re: Hulot
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°95
Re: Hulot
Je sais, encore une mauvaise nouvelle. Pas dans le but de déprimer tout le monde, dans le but de tenter de sensibiliser sur le fait qu'il est particulièrement urgent que cela change.
Sur nos émissions de CO2 pour le climat, mais aussi sur la pollution de façon générale, et de la déforestation (13 millions d'hectares de forêt disparaissent annuellement (source FAO)
"La sixième extinction animale de masse est en cours
Le Monde.fr avec AFP | 20.06.2015 à 04h48 • Mis à jour le 20.06.2015 à 11h12
Les espèces animales disparaissent environ cent fois plus rapidement que par le passé. Les estimations les plus optimistes montrent que la faune de la Terre est en train de subir sa sixième extinction de masse, selon une étude publiée vendredi 19 juin par des experts des universités américaines de Stanford, de Princeton et de Berkeley, notamment.
Jamais, selon eux, la planète n'a perdu ses espèces animales à un rythme aussi effréné que depuis la dernière extinction de masse, il y a 66 millions d'années, celle des dinosaures. Leur étude, publiée dans le journal Science Advances, « montre sans aucun doute possible que nous entrons dans la sixième grande extinction de masse », a affirmé Paul Ehrlich, professeur de biologie à Stanford.
Les humains en feront partie
Et les humains feront probablement partie des espèces qui disparaîtront, préviennent-ils. « Si on permet que cela continue, la vie pourrait mettre plusieurs millions d'années à s'en remettre, et notre espèce même disparaîtrait probablement assez tôt », a précisé Gerardo Ceballos, de l'université autonome de Mexico.
Cette analyse s'appuie sur des observations documentées d'extinctions de vertébrés — des animaux avec squelettes internes comme des grenouilles, des reptiles et des tigres — à partir de fossiles et de bases de données. Le rythme actuel de disparition des espèces a été comparé aux « rythmes naturels de disparition des espèces avant que l'activité humaine ne domine ».
Fourchette basse
Ces derniers sont difficiles à estimer, car les experts ne savent pas exactement ce qu'il s'est produit tout au long des 4,5 milliards d'années d'existence de la Terre. Si le taux du passé fait ressortir une disparition de deux espèces de mammifères pour dix mille espèces en cent ans, alors « le taux moyen de perte d'espèces de vertébrés au siècle dernier est cent quatorze fois supérieur à ce qu'il aurait été sans activité humaine, même en tenant compte des estimations les plus optimistes en matière d'extinction », selon l'étude.
« Nous insistons sur le fait que nos calculs sous-estiment très probablement la sévérité de cette crise d'extinction, parce que notre objectif était de fixer un bas de la fourchette réaliste en ce qui concerne l'impact de l'humanité sur la biodiversité », précisent les chercheurs. Les causes de la disparition des espèces comprennent notamment le changement climatique, la pollution et la déforestation. D'après l'Union internationale pour la conservation de la nature, environ 41 % des espèces d'amphibiens et 26 % des espèces de mammifères sont menacées d'extinction."
Sur nos émissions de CO2 pour le climat, mais aussi sur la pollution de façon générale, et de la déforestation (13 millions d'hectares de forêt disparaissent annuellement (source FAO)
"La sixième extinction animale de masse est en cours
Le Monde.fr avec AFP | 20.06.2015 à 04h48 • Mis à jour le 20.06.2015 à 11h12
Les espèces animales disparaissent environ cent fois plus rapidement que par le passé. Les estimations les plus optimistes montrent que la faune de la Terre est en train de subir sa sixième extinction de masse, selon une étude publiée vendredi 19 juin par des experts des universités américaines de Stanford, de Princeton et de Berkeley, notamment.
Jamais, selon eux, la planète n'a perdu ses espèces animales à un rythme aussi effréné que depuis la dernière extinction de masse, il y a 66 millions d'années, celle des dinosaures. Leur étude, publiée dans le journal Science Advances, « montre sans aucun doute possible que nous entrons dans la sixième grande extinction de masse », a affirmé Paul Ehrlich, professeur de biologie à Stanford.
Les humains en feront partie
Et les humains feront probablement partie des espèces qui disparaîtront, préviennent-ils. « Si on permet que cela continue, la vie pourrait mettre plusieurs millions d'années à s'en remettre, et notre espèce même disparaîtrait probablement assez tôt », a précisé Gerardo Ceballos, de l'université autonome de Mexico.
Cette analyse s'appuie sur des observations documentées d'extinctions de vertébrés — des animaux avec squelettes internes comme des grenouilles, des reptiles et des tigres — à partir de fossiles et de bases de données. Le rythme actuel de disparition des espèces a été comparé aux « rythmes naturels de disparition des espèces avant que l'activité humaine ne domine ».
Fourchette basse
Ces derniers sont difficiles à estimer, car les experts ne savent pas exactement ce qu'il s'est produit tout au long des 4,5 milliards d'années d'existence de la Terre. Si le taux du passé fait ressortir une disparition de deux espèces de mammifères pour dix mille espèces en cent ans, alors « le taux moyen de perte d'espèces de vertébrés au siècle dernier est cent quatorze fois supérieur à ce qu'il aurait été sans activité humaine, même en tenant compte des estimations les plus optimistes en matière d'extinction », selon l'étude.
« Nous insistons sur le fait que nos calculs sous-estiment très probablement la sévérité de cette crise d'extinction, parce que notre objectif était de fixer un bas de la fourchette réaliste en ce qui concerne l'impact de l'humanité sur la biodiversité », précisent les chercheurs. Les causes de la disparition des espèces comprennent notamment le changement climatique, la pollution et la déforestation. D'après l'Union internationale pour la conservation de la nature, environ 41 % des espèces d'amphibiens et 26 % des espèces de mammifères sont menacées d'extinction."
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Domyleen- Messages : 7917
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- Message n°96
Re: Hulot
Valérie Masson-Delmote élue au GIEC.
CEA - 14/10/2015
Dans le cadre du renouvellement de la gouvernance du Giec, Valérie Masson-Delmote, climatologue au CEA, devient coprésidente du groupe chargé d'établir les faits scientifiques sur les causes et les évolutions du changement climatique.Valérie Masson-Delmote, climatologue au CEA (LSCE) et le Chinois Panmao Zhai (Chine Academy of Meteorological Sciences) ont été élus, mercredi 7 octobre, coprésidents du groupe de travail 1 du Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur le climat) dont l'objet est d'étudier et d'estimer scientifiquement les causes et les évolutions du changement climatique. Cette nomination fait suite à l'élection du nouveau président du GIEC, l'économiste coréen Hoesung Lee.
Valérie Masson-Delmotte est diplômée de l'Ecole Centrale et d'un doctorat, préparé au CEA. Elle est directrice de recherches au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (CEA-CNRS-UVSQ Paris Saclay / IPSL) et a contribué aux deux derniers rapports du Giec.
Valérie Masson Delmotte a reçu plusieurs prix prestigieux dont le prix Irène Joliot-Curie du Ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, dans la catégorie « femme scientifique de l'année » en 2013 et le prix le prix Martha T. Muse 2015 « for Science and Policy in Antarctica », décernée par le Comité scientifique sur la recherche en Antarctique (SCAR,Scientific Committee on Antarctic Research), au nom de la Fondation Tinker.
Valérie Masson-Delmotte a écrit plusieurs ouvrages de popularisation des sciences sur le climat, pour les enfants, comme « Le climat de nos ancêtres expliqué à nos enfants », avec Bérengère Dubrulle, « Les expéditions polaires » avec Gérard Jugie et « Atmosphère : quel effet de serre ? » avec Marc Delmotte, et pour le grand public, comme « Le climat, La Terre et les Hommes », avec Jean Poitou et Pascale Braconnot. elle vient de signer avec Christophe Cassou, cliamtologue au Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique (Cerfacs, Toulouse), "Parlons climat en 30 questions" à la Documentation française.
Le Giec, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, a pour mission d'évaluer de la façon la plus précise et complète possible les informations internationales scientifiques, techniques et socio-économiques sur l'évolution du climat. Le point sur sa création, ses missions, son fonctionnement
Son nom me disait quelque chose ....
(En fait, le compagnon d'une de mes sœurs, avait co-écrit certains de ses articles et livres sur l'état des pôles (plus précisément l’Antarctique), dont "Les expéditions polaires")
Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°97
Re: Hulot
Un métier d'avenir : Vendeur de combinaisons de plongée.
Voir ICI
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Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°98
Re: Hulot
Fred1208 a écrit:Raison de plus pour faire monter le compteur de l'appel. Je ne suis pas certain que cela serve à quelque chose, mais c'est certainement mieux que rien.
Plus de 570 000 signataires aujourd'hui.
Plus ce sera, mieux ce sera.
Merci de diffuser.
Plus de 590 000 signataires ce soir.
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Invité- Invité
- Message n°99
Re: Hulot
http://www.franceculture.fr/emission-la-grande-table-2eme-partie-les-enjeux-climatiques-33-gaia-une-nature-historique-et-politiq
Un peu d'ouverture...
Un peu d'ouverture...
Fred1208- Messages : 3338
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- Message n°100
Re: Hulot
La génèse..
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