alain68 Lun 31 Jan 2011 - 18:37
Bonsoir,
j'ai récupéré un article sur le net qui peut vous intéresser.
Opérée en Floride, elle recommande le traitement zamboni
Publié à 6h00 le jeudi 27 janvier 2011
Sylvie Levesque, qui revenait d'un voyage durant lequel elle a subi le traitement Zamboni, a parlé publiquement de son opération lors d'une réunion mensuelle du chapitre Restigouche de la Société de la sclérose en plaques. Son témoignage élogieux face aux résultats de l'opération a été corroboré par plusieurs autres durant cette soirée, le 18 janvier à Campbellton.
B7Michel Gourd
L'Étoile
Stumble Upondel.icio.usDiggFacebookImprimerCourrielCommenterSylvie Levesque, qui est docteure en psychologie, a subi son opération en Floride le 12 janvier. Elle s'exprimait pour la première fois en public au sujet de son intervention médicale et des conséquences qu'elle a entraînées dans sa vie. Bien qu'attendant cette opération à un autre endroit, la jeune professionnelle qui occupait jusqu'à trois emplois à la fois avant d'être atteinte par la maladie a été acceptée très rapidement en Floride. «Ça fait depuis le mois d'août que je suis sur une liste d'attente à New York. Quand j'ai appelé en Floride, ils m'ont pris tout de suite». Comme dans tous les cas de procédure de libération qui ont été discutés durant cette rencontre, les résultats de l'intervention qui a débouché une des veines de son cou à 80 % et l'autre à plus de 70 % ont été instantanés. «J'avais toujours une grosse pression dans la tête. Après l'opération, je ne l'avais plus. Ma jambe était raide. Elle traînait depuis un bon bout. Maintenant, elle lève et plie comme il faut. J'ai plus d'énergie. J'ai les idées plus claires. Je ne sentais plus mes jambes, maintenant, je les sens un petit peu. Je ne pouvais plus aller uriner seul, maintenant je peux le faire.»
Agrandir la photo Michel GourdLors de la rencontre, Louis Doiron de Campbellton, qui s'est fait débloquer les veines du cou en Pologne en septembre dernier, a aussi parlé de ce qu'il vit comme différence depuis plus de quatre mois. «J'ai été en physiothérapie un mois avant de me faire opérer et j'y suis retourné un mois après mon traitement. La physiothérapeute n'en revenait pas, car elle m'avait fait passer le test de Barthel avant. Le résultat de ça est que j'aurais dû me déplacer en marchette au plus pour ma sécurité. Un mois après, ça avait monté de six dans l'échelle. Je pouvais me promener avec une canne et il n'y avait pas de problème». Rémi et Huguette Benoit de Dalhousie, les parents de Janic Benoit qui a été en Floride les 8 et 9 décembre dernier pour subir la même opération, ont eux aussi parlé des progrès remarquables que vit actuellement leur fille.
Prenant en considération ce qu'elle vit et ce qu'elle a entendu au cours de la soirée, Sylvie Levesque se pose des questions quant aux raisons de la résistance du corps médical face à cette opération qui est, somme toute, très facile à faire. «Je comprends que, du côté médical, ils veulent faire des recherches parce qu'ils ne comprennent pas. Mais là, il y avait quelque chose de bouché. L'opération et le voyage incluant la nourriture m'ont coûté environ 11,500 $. Je suis du genre sceptique, mais je l'ai vécu et je le conseillerais à n'importe qui».
Alain