babar Jeu 27 Oct 2011 - 2:11
J'ai lu, je ne sais plus où, que chez des sujets "sains" (d'un point de vue neuro.), totalement autonomes, n'ayant aucune pathologie d'affection démyélisante et autopsiés lors de leur décés, ont a décelé plusieurs plaques dans le cerveau.
Ce qui signifie bien que le nombre de plaques n'est aucunement lié au handicap.
Ce qui compte, comme le dit AMA, c'est la clinique, et si ton cerveau est bourré de plaques mais que tu es autonome et sans handicap, c'est le principal.
Une fois le diag. d'affection démyélisante posé, pourquoi se prendre la tête avec des IRM ?
Elle n'ont aucun caractère prédictif et n'indiquent rien qui puisse servir à règler le problème de la patho.
Se fier et ne se fier qu'à la clinique, le reste c'est pour se faire plaisir, faire plaisir à son médecin, ou s'inquiéter.
Les médecins soignant Lyme n'évoquent à aucun moment l'IRM comme outil permettant l'obtention d'informations utiles.
A fortiori, pourquoi en serait-ce autrement pour la Sep qui est une patho. par défaut et inguérrissable.
Si ma coquetterie ce sont mes plaques au cervau, comme pour certaines femmes leur grain de beauté, et que je me porte comme un charme, ça me va très bien, je ne vais pas chercher plus loin.