Cette piste séduisante est confortée en juillet 2015 !

Cette piste est confortée par une publication sur http://mbio.asm.org/content/6/3e02513-14.full#sec-1
le 16 juin 2015 par la même équipe (dont Jennifer Linden) qui affirme que
"La toxine Epsilon (de la bactérie Clostridium perfringens) provoque la mort sélective des oligodendrocytes matures et la démyélinisation du système nerveux central"

Voici l'adresse du compte rendu complet
http://mbio.asm.org/content/6/3/e02513-14.full

STP Domyleen
Est-ce que cet autre lien fonctionne, et est-ce exploitable ?
Ton avis sur le sujet ?

J'ai trouvé cet autre lien qui me semble aller dans le même sens
http://journals.plos.org/plospathogens/article?id=10.1371/journal.ppat.1004896

Pour aller plus loin dans les détails en cliquant sur les onglets de cette page
https://patentscope.wipo.int/search/fr/detail.jsf?docId=WO2014127258&recNum=1&maxRec=&office=&prevFilter=&sortOption=&queryString=&tab=PCT+Biblio

Pour les 2 premières il existe des prise de sang, mais es-que je peut demander une prise de sang mycoplasme et epsilon ?

Bref j’essayerais d'avoir le net car je par ce soir en Italie, à part la chaleur j'en avais bien besoin 

 Au fait ...., je ne me souviens plus si ce lien avait déjà été posté:
 Et l'on reparle de "l'énigme" des îles Féroé, de la gastro-entérite et du lien suspecté avec la SEP.


  http://www.journaldelenvironnement.net/article/clostridium-perfringens-a-l-origine-de-la-sclerose-en-plaques,42538

   Cette hypothèse d’un lien entre infections alimentaires et sclérose en plaques semble en partie confortée par l’étude publiée par l’équipe de Timothy Vartanian, du Weill Cornell Medical College de New York, dans la revue PLoS ONE [2]. Les chercheurs ont isolé, chez une jeune femme de 21 ans tout juste diagnostiquée, un Clostridium perfringens, pathogène alimentaire lié à des gastroentérites peu sévères.

 UNE TOXINE QUI ENTRAÎNE LES MÊMES DÉGÂTS QUE LA SCLÉROSE EN PLAQUES
Or il s’agit d’une souche B, dont les hôtes naturels sont les ruminants: c’est d’ailleurs la première fois que cette souche est isolée chez l’homme. Particularité de cette bactérie, elle possède une toxine dénommée «epsilon», suspect idéal dans la survenue d’une sclérose en plaques: elle perméabilise la barrière hémato-encéphalique, et s’avère toxique pour les oligodendrocytes -des cellules productrices de myéline mourant en masse dans la maladie.
Poussant l’idée plus loin, les chercheurs ont comparé des échantillons sanguins et de liquide céphalo-rachidien (qui baigne le cerveau) de personnes atteintes de la maladie et d’autres non malades. Résultat: les anticorps anti-toxine epsilon sont 10 fois plus fréquents chez les patients que chez les contrôles, signe d’une exposition à un Clostridium perfringens producteur de cette toxine.

    Une fois cette piste infectieuse confirmée, restera à montrer qu’elle est plus qu’anecdotique. Dès lors, se poserait la possibilité de traitements à base d’anticorps neutralisants, voire de vaccins dirigés contre la toxine epsilon. Ironie du sort, plusieurs vaccins, en particulier celui contre l’hépatite B, ont été accusés (et continuent à l’être, par certaines associations) d’être à l’origine de cas de sclérose en plaques! Sans preuve épidémiologique à ce jour…

https://patentscope.wipo.int/search/fr/detail.jsf?docId=WO2014127258&recNum=1&maxRec=&office=&prevFilter=&sortOption=&queryString=&tab=PCT+Biblio


Extrait :

(FR)La présente invention concerne une toxine epsilon (ETX) produite par Clostridium perfringens de type B ou de type D en tant que toxine responsable de la sclérose en plaques (MS) chez l'homme. L'invention identifie en outre le récepteur de liaison MAL à l'ETX pour la mort cellulaire à médiation ETX et d'autres activités logiques des toxines dans la MS. L'invention concerne également des méthodes et des compositions pour prévenir la sclérose en plaques (MS) chez l'homme et/ou pour traiter la MS en interférant directement ou indirectement avec la toxine epsilon (ETX), avec son récepteur de liaison (par exemple MAL), ou avec des interactions récepteur-ETX de sorte à inhiber ou supprimer en aval des activités de signalisation du récepteur à médiation ETX. La présente invention décrit également diverses méthodes pour détecter, diagnostiquer, surveiller, évaluer la sclérose en plaques (MS) en déterminant un taux d'expression du gène ETX ou de sa protéine codante chez un patient humain suspecté d'avoir la sclérose en plaques (MS) et/ou risquant de présenter la sclérose en plaques (MS).

En se déplaçant sur les onglets bleus de cette page web ci-dessus, de patenscope,je crois comprendre que cette étude est plus avancée qu'on ne l'imagine (onglet « Description ») et transmise dans de nombreux pays (dernier onglet « Documents »)

http://www.freepatentsonline.com/y2016/0017022.html
http://www.genovis.com/gingiskhan

Débris19 a écrit:http://www.freepatentsonline.com/y2016/0017022.html
http://www.genovis.com/gingiskhan

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5263136/